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Article publié le 28/08/2018

« Beaucoup de gens espèrent son retour » : Julie Gayet toujours en observation après ses propos sur François Hollande

L’actrice-productrice de 46 ans avait été placée en soins intensifs début août, après ses propos sur François Hollande tenus à nos confrères du Parisien. Si son état présente une nette amélioration, elle reste pour l’heure toujours en observation.

« Ce qui est important aujourd’hui, et je le vois quand on sort, c’est qu’il y a une vraie attente, beaucoup de gens espèrent son retour ». Les propos tenus par Julie Gayet dans Le Parisien avaient provoqué une vague d’inquiétude chez ses proches. Thomas Thévenoud, un intime du couple, a souhaité rassurer quant à son état : « Julie va beaucoup mieux, elle commence à entrer dans une phase d’acceptation. Vous savez, quand on souffre de déni de réalité, toute votre vie est construite dans une sorte de monde parallèle… Et il faut déconstruire ce monde brique par brique. Pour ma part, il m’a fallu plusieurs années pour guérir de ma phobie administrative, mais aujourd’hui, je remplis mes déclarations d’impôts avec beaucoup d’enthousiasme ! ».

Une candidature Hollande 2022 ?

Si la proximité entre Julie Gayet et François Hollande peut avoir été la source de cette pathologie, comment expliquer l’origine des tracts « Hollande 2022 » découverts cet été à Marseille ? Le professeur Philippe Magloire, psychiatre à l’hôpital Sainte-Anne, s’interroge : « Julie Gayet souffre d’un déni de réalité appelé Jospinite. C’est assez répandu dans le monde politique, mais nous n’avions plus recensé de cas depuis l’année dernière. Je pensais que la maladie était circonscrite à elle-même, mais apparemment, il y a d’autres foyers de contagion en France, c’est vraiment très inquiétant ». 

Les mêmes symptômes ont pu être détectés sur des participants aux universités d’été du Parti Socialiste, qui se tiennent cette semaine au col de la Louze. Les militants infectés ont été pris en charge par le service médical et traités d’urgence par visionnage de l’intégrale de l’affaire Léonarda. Le premier secrétaire du Parti Socialiste, Olivier Faure, s’est toutefois voulu rassurant : « Ce ne sont que des réactions sporadiques. Au Parti Socialiste on est en train de bâtir un programme de winner autour de ma propre candidature en 2022. Le déni de réalité n’a pas sa place ici ! ».  
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Phil
le 28/08/2018
Répondre
Faure-2022 vous pouvez commencer à réserver les noms de domaines :)

Itou
le 28/08/2018
Répondre
On s'inquiète beaucoup pour Julie







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Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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