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Article publié le 12/04/2018

Face à Jean-Pierre Pernaut, Emmanuel Macron peine à rassurer sur la fuite d’eau chez Madame Verbaudet

En acceptant l’invitation du présentateur, Emmanuel Macron se savait attendu sur les sujets de préoccupation majeurs des Français. Si le Président s’est montré bienveillant en dévoilant plusieurs mesures fortes, il peine cependant à rassurer sur un certain nombre de sujets de fond. 

Loin des dorures élyséennes, c’est dans la petite commune de Berd’huis, dans l’Orne, que l’indéboulonnable Jean-Pierre Pernaut a convié le Président de la République, pour une interview exclusive « face aux Français ». « Lorsqu’on a reçu l’invitation, ça a été la panique à l’Elysée ! » raconte Alexis Kohler le secrétaire général. « Personne n’avait jamais entendu parler de ce département, et surtout personne ne savait où il se trouvait ! ». Après plusieurs jours de recherches, les membres de son cabinet parviennent enfin à localiser l’endroit et à préparer le déplacement du Président. « Une fois réglés les problèmes logistiques, il a fallu refaire un point complet sur tous les sujets de fond : prix de la baguette, prix du ticket de métro, prix du pain au chocolat… Beaucoup s’y sont cassés les dents, pas question de se faire piéger sur des sujets aussi sensibles » continue-t-il. Le jour de l’interview, tout semble en place, pourtant, dès son arrivée, le Président doit être pris en charge par le service médical. « Il s’est mis à avoir des démangeaisons dans le cou et s’est inquiété de l’odeur de fumier. On l’a rassuré en lui expliquant qu’en arrivant à la campagne, tous ces symptômes étaient parfaitement normaux. Je lui ai quand même administré un léger tranquillisant, et il a pu commencer son interview sans souci », nous rapporte le médecin de l’Elysée.  

Des mesures fortes mais des problématiques repoussées à une prochaine échéance

Au cours de l’interview, Emmanuel Macron a su se défaire de son étiquette de Président des villes pour se montrer à l’écoute des préoccupations du monde rural. Il a notamment profité de cet échange pour se poser en défenseur du terroir, annonçant le financement par BPI France de la poterie de Bouzancourt et de la fabrique de santons de Bézaudun-les-Alpes, ainsi que la création d’un crédit d’impôt « transition sabots », une mesure portée de longue date par l’Intercommunalité du Plateau Picard. En revanche, il a peiné à rassurer sur la fuite d’eau du robinet de cuisine chez Madame Verbaudet et sur le désengagement de l’état du financement du ralentisseur de l’école élémentaire de Cuise-la-Motte. « Des sujets qui feront l’objet de mesures adaptées lors du projet de loi de finances pour 2019 » a-t-il cependant assuré.  
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Ironman
le 24/08/2018
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Moi non plus je ne savais que l'Orne était un département. C'est où ?

Itou
le 24/08/2018
Répondre
Je crois que c'est en bas, enfin pas tout à fait plutôt au mileu







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Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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