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Article publié le 01/11/2022

Après avoir mis la main sur Twitter, Elon Musk s'intéresserait au Journal du Slip

"L'oiseau est libéré, le Slip le sera bientôt". Tels ont été les premiers mots twittés par Elon Musk à l'issue de son rocambolesque rachat du réseau social. Après avoir disrupté le monde automobile et conquis l'espace, le fantasque milliardaire aurait jeté son dévolu sur le secteur des médias, et s'intéresserait de près au Journal du Slip, une publication en phase avec ses aspirations libertaires. Le Slip libéré, simple clin d'oeil ou véritable projet éditorial ? Le point avec Guillaume Debazac, son rédacteur en chauffe.


Le Journal du Slip : Elon Musk a d'ores et déjà affiché sa volonté de faire de Twitter une zone de libre expression, partagez-vous cette vision libertaire ? 

Guillaume Debazac : Socrate disait "Nous ne nous approchons de la vérité que dans la mesure où nous nous éloignons de la vie". Je trouve que ça claque comme citation pour introduire une interview, mais pour en revenir à votre question, oui absolument ; Liberté et indépendance sont les deux fondements du Journal du Slip. C'est ce qui confère à notre journal toute sa richesse. On peut tout écrire à la condition stricte de ne pas faire de fautes d'ortographe. Dernièrement nous avons organisé un débat entre la militante éco-castratrice Sandrine Jean-Jacques et Com Truise, partisan d'un virilisme ferme et membre du collectif Ni porcs Ni soumis. Le thème du débat était "Woke ou barbecue, quelle cuisson pour demain ?". Tous les points de vue ont pu être exposés et débattus, y compris lorsqu'une personne non genré.e s'est interposé.e pour réclamer l'adoption de la plancha. En revanche, certaines réactions des internautes ont dû être censurées. "Lé meufs sé fé pour passé l'aspi", "Vos couilles sur un plato", de tels écrits n'ont pas leur place au Journal du Slip. Cette liberté de ton nous inspire, nous guide au quotidien, infuse et irrigue le mode d'organisation de notre journal. Chacun est libre d'aller et venir, et de travailler comme bon lui semble. 

Le Journal du Slip : Est-ce que je peux partir plus tôt ce soir ? 

Guillaume Debazac : Tu partiras quand je te le dirai.

Le Journal du Slip : Pourquoi Elon Musk parle-t-il alors de Slip libéré ? 

Guillaume Debazac : C'est un clin d'oeil, je pense qu'il me taquine. Vous savez, Elon est un pote, on fait nos séances de botox ensemble. Il y a quelques années déjà il voulait reprendre Le Journal du Slip, c'était à l'époque où Netflix s'intéressait aussi à notre publication. Je lui ai dit non, mais il n'arrêtait pas d'insister. Alors je l'ai emmené déjeuner au Shakira à Nanterre, un restaurant de spécialités indo-pakistanaises. Le lendemain il a eu tellement la chiasse, qu'il ne m'a plus parlé de son projet. C'est ce que j'appelle la diplomatie du nan au fromage. 

Le Journal du Slip : Elon Musk prévoit de faire du Dogecoin la monnaie officielle de Twitter. Dans cette perspective, celle-ci s'est fortement appréciée. Peut-il en être de même pour le Slipcoin ? 

Guillaume Debazac : C'est probable, mais j'ai trouvé un autre moyen de me faire du blé encore plus rapidemement. J'ai mis en vente aux enchères le NFT du premier article du Journal du Slip. Le NFT du premier tweet de Jack Dorsey est parti pour 2,9 millions de dollars, j'espère pouvoir faire mieux. Pour l'instant il n'y a pas d'acheteur, mais vous savez très bien qu'ils ne se dévoilent qu'au dernier moment. 

Le Journal du Slip : Quels sont vos autres projets pour le Journal Du Slip ?

Guillaume Debazac : Je travaille sur un projet de métavers, mais il est trop tôt pour en parler, on a encore beaucoup de planche sur le pain à ce sujet-là.

Le Journal du Slip : Les investisseurs ont été sévèrement refroidis par le projet de métavers de Facebook, ne s'agit-il pas là d'un pari très osé ?

Guillaume Debazac : C'est là où la pensée de Socrate rejoint la mienne, on verra bien à la fin qui avait raison. 
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Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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