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Article publié le 05/10/2018

Le Nobel de chimie 2018 attribué à Walter White pour ses travaux sur la méthamphétamine bleue

Avec ce Crystal bleu d’une pureté presque parfaite, c’est un produit populaire et accessible qui est récompensé. Mais également la reconnaissance du travail d’un homme à qui la vie n’a pas toujours souri et qui aura décidé de mettre tout son génie au profit du plus grand nombre. 
 
Dans le petit salon attenant à la salle de réception de l’hôtel de ville de Stockholm, les membres de l’académie suédoise s’agitent autour d’une petite pipe en verre, qu’ils se passent de mains en mains après en avoir pris quelques bouffées. Le responsable de toute cette agitation, c’est Walter White, l’homme auquel ils viennent de remettre le prix Nobel de chimie. Certains ne boudent pas leur plaisir. « Faut quand même avouer que c’est de la bonne ! » s’enthousiasme l’un d’eux. Une appréciation qu’aurait sûrement partagée Alfred Nobel, le père de la plus illustre des récompenses, également chimiste, et génial inventeur de la dynamite.
 
Quelques minutes plus tôt, le fumeux chimiste était à la tribune d’honneur pour recevoir son prix et marquer l’assemblée d’un discours pétillant, souvent drôle, empreint de sagesse et d’humilité. Après avoir rappelé ses débuts chaotiques au sein de la société Grey Matter, et évoqué sa passion pour l’enseignement et le lavage de voiture, il a exposé à un public sous le charme, la génèse de son produit star, le Crystal bleu. A l’origine de ce « blockbuster », une pénurie de pseudoéphédrine et cette incroyable intuition d’utiliser de la méthylamine, créant ainsi un Crystal à la coloration bleue si particulière et à la pureté jamais égalée. 
Il a ensuite tenu à remercier chaleureusement toute son équipe, sans laquelle rien de tout cela n’aurait été possible, en insistant tout particulièrement sur « ce petit enculé de Jesse », ce deuxième fils qu’il n’a jamais eu et qu’il n’a jamais rêvé d’avoir, déclenchant les applaudissements nourris et émus de toute l’assemblée.
 
Une méthamphétamine rose pour les filles
 
Il en également profité pour faire le point sur les travaux de recherche menés actuellement par son équipe et lui-même, piquant l’intérêt de ses auditeurs en annonçant la sortie prochaine d’un Crystal rose, « au goût plus doux et plus sucré », qui devrait à coup sûr ravir la clientèle féminine. « Chaque pays, chaque région a ses propres goûts et sa propre culture. Nous prévoyons pour Noël prochain le lancement en Russie d’un Crystal blanc aromatisé à la vodka. Pour la France, on hésite entre le Crystal Cognac et le Crystal Calvados, on fera peut-être les deux après tout, vous savez c’est un pays susceptible, la France » a-t-il ajouté, déclenchant l’hilarité dans la salle.
 
On ne sait pas encore si ce nouveau Crystal sera du goût du Président Français, mais après l’avoir félicité, celui-ci l’a d’ores et déjà convié au Palais de l’Elysée. On murmure qu’il souhaiterait lui confier un poste au conseil d’administration du fonds pour l’innovation. Walter White s’est dit « honoré » de cette invitation et s’est empressé d’offrir à la première dame un sachet de Crystal bleu « qui sera du plus bel effet avec son ensemble Louis Vuitton ».  Quant aux futures responsabilités qui lui seraient proposées, il a assuré être « hyper aware » mais n’a pour l’heure pas fait d’autres commentaires.
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Ironman
le 05/10/2018
Répondre
Au moins une série qui se termine correctement, pas comme Lost

Antunes
le 05/10/2018
Répondre
C'est vrai que c'est de la bonne

Itou
le 05/10/2018
Répondre
tu nous manques tellement Walter :(







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Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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