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Article publié le 12/03/2019

Grâce à un test ADN, il se découvre un lien de parenté avec ses parents

Depuis plusieurs semaines, les spots publicitaires de la société Américaine MyHeritage ADN envahissent nos écrans pour nous proposer d’en savoir plus sur nos origines. Intrigué par la promesse de cette quête existentielle, Sylvain Bouvet a décidé de tenter l’expérience. Il nous raconte aujourd’hui en quoi elle a changé sa vie.
 
« Je pense avoir toujours été heureux dans ma vie, mais en même temps, je ressentais constamment comme un vide, quelque chose à combler. J’en ai pris conscience la première fois il y a quelques années, quand un jour j’ai ouvert un placard dans ma cuisine, et là, il n’y avait plus de Nutella. J’ai alors ressenti cette sensation de décalage temporel et existentiel qui ne m’a plus vraiment quitté depuis. J’ai essayé le régime sans gluten, je ne porte que des jeans slims, j’ai même voté pour Emmanuel Macron, mais non, rien n’y fait ».
 
Un matin, il y a quelques semaines, tandis qu’il prend son petit-déjeuner aux céréales d’épeautre complet, il remarque cette publicité pour MyHeritage ADN. « Ça s’est imposé pour moi comme une évidence, j’ai tout de suite compris que la réponse à cette angoisse qui me hantait depuis tout ce temps se trouvait là, au bout de ce coton-tige. D’autant plus que le matin même, mon horoscope dans 20 minutes indiquait que j’allais avoir une journée surprenante, ça c’est un signe qui ne trompe pas ! ».
 
Après avoir renvoyé au laboratoire Américain le coton-tige imbibé de son frottis de joue et avoir patienté environ quatre semaines, il reçoit enfin par mail, un matin, les résultats de son test ADN. « J’ai pris une grande inspiration et j’ai plongé dans les résultats comme Neymar sur une pelouse ». Et là, Sylvain Bouvet va aller de découvertes en découvertes. « J’ai appris que mes origines étaient européennes, et plus particulièrement françaises. C’est quelque chose dont je me doutais, j’en ai maintenant la preuve ». Mais c’est à la toute fin du document qu’il découvre ce qui va réellement changer sa vie : il est le fils de Michel Bouvet et de Monique Bouvet, née Poiraud. « Pendant plusieurs semaines, j’ai fait des recherches sur eux pour en savoir plus, et enfin je les ai trouvés ! Et vous savez quoi, ils habitent juste à côté de chez moi ! » C’est alors que l’impensable se produit. « Vous n’allez pas me croire… mais en consultant machinalement mon téléphone, je me suis aperçu que leurs coordonnées étaient déjà enregistrées ! Je les ai appelés, c’était incroyable, on s’est parlé comme si on s’était toujours connus ! Ils m’ont même invité à venir manger un couscous dimanche prochain ! ».
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Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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