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Article publié le 10/09/2018

Avec « Bleu, Blanc, Ruche », Arnaud Montebourg entend soutenir le repeuplement des idées socialistes

Sous sa casquette d’entrepreneur, l’ancien ministre du redressement productif entend aider au repeuplement des idées socialistes, décimées par la négligence des apiculteurs et le frelon macroniste. 

Très discret depuis son départ du gouvernement sous François Hollande, c’est en tant qu’entrepreneur que l’ancien flamboyant ministre du redressement productif revient sur le devant de la scène. Après un bref passage chez Habitat, Arnaud Montebourg se refait le chantre du « Made in France » à travers un projet qui concilie entreprenariat et convictions politiques personnelles. « Le constat est accablant. Depuis deux ans, les idées socialistes ont presque totalement disparu. On accuse souvent les pesticides ou le frelon macroniste, mais la principale cause de cette disparition, c’est la négligence et le manque d’anticipation des apiculteurs. La ruche parisienne a déjà disparue, dans l’indifférence quasi-générale. Mon projet est d’aider au repeuplement du cheptel de bonnes idées socialistes. Elles jouent un rôle essentiel dans le processus de pollinisation au sein de société française » explique l’ancien ministre. Le projet repose sur la vente de pots de miel à un prix légèrement supérieur à celui du marché, les fonds ainsi récoltés ayant vocation à financer la construction de nouvelles ruches. 

Des idées socialistes « Made in France »

Arnaud Montebourg entend rester fidèle au « Made in France », un créneau qu’il a ardemment défendu quand il était ministre. « Il s’agit de monter en gamme, de passer du Made in rance au Made in France, et pas question d’importer ou de recycler des idées travaillistes ou social-démocrates allemandes » assure-t-il. Si les consommateurs semblent déjà séduits, les apiculteurs pourraient être plus difficiles à convaincre. « On est face à des gens qui ont cru jusqu’au bout que leur production serait préservée. Aujourd’hui, ils sont en détresse totale et il faut les faire adhérer à une nouvelle vision des choses » conclut-il. 
Les premiers pots de miel sont mis en vente à compter d'aujourd'hui, sur la plateforme de financement participatif Ulule.
 
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Les commentaires des Slipeurs

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Itou
le 10/09/2018
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Ya du boulot pour repeupler...







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Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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