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Article publié le 20/04/2018

« Pendant les grèves, pensez au co-voiturage ! », tweet de la ministre des transports Elisabeth Borne, depuis l’arrière de son véhicule de fonction

Mise sous les projecteurs pour son rôle de premier plan dans la gestion de la crise à la SNCF, la ministre des transports, Elisabeth Borne, a accepté de nous recevoir, pour nous parler de ce conflit, et des solutions alternatives qui s’offrent aux usagers.  

« Au ministère, nous sommes parfaitement conscients de la gêne occasionnée par ce conflit pour les usagers. Mais dans l’attente d’un dénouement, il faut envisager d’autres solutions de mobilité. Pensez au co-voiturage ! Tenez, moi, par exemple, quand mon chauffeur Youssouf est passé me chercher ce matin, nous avons fait un crochet pour passer prendre Stéphane Travert, mon collègue de l’agriculture, parce que son propre chauffeur n’avait pas pu venir récupérer sa voiture à cause des grèves ! Et bien je peux vous dire que deux à l’arrière, on était drôlement serrés ! Et puis il y a aussi cette application dont tout le monde parle, Babar, ou Babacar, je sais plus… Comment ? BlaBlaCar ? Quel nom ridicule ! Enfin, bon, ça à l’air de pas mal marcher.
Il y a aussi les cars, c’est sympa ça, les cars. Ça donne toute de suite une super ambiance de colonie de vacances ! Il y a toujours un mec avec une guitare, on peut chanter des chansons tous ensemble !  Mais pensez aussi au télétravail, c’est sympa ça, de travailler devant la télé ! Et puis les jours de grève, c’est aussi l’occasion de poser des congés, ou des RTT, pour sortir, faire des courses, aller au cinéma, les gens se plaignent toujours de ne pas avoir assez de temps pour eux, c’est le moment d’en profiter ! Oui, vous attirez mon attention sur la problématique de la grande banlieue, mais on n’a pas idée d’aller habiter aussi loin ! Alors, oui c’est sympa d’avoir un jardin, mais après pour le travail, il faut assumer ! Moi par exemple, je travaille à Paris et j’habite à Paris. Quand on travaille à Paris, on ne va pas habiter à Melun ou à Cergy ! C’est une question de bon sens ! 
»
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Les commentaires des Slipeurs

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Itou
le 23/08/2018
Répondre
Elisabeth Borne to be alive







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Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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