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Article publié le 29/07/2018

L’opposition demande la création d’une commission d’enquête parlementaire après l’achat d’un appareil à raclette par François de Rugy

Encore embourbée dans l’affaire Benalla, la majorité serait-elle à la veille d’un nouveau scandale ? « On a affaire à quelque chose de très, très, grave » a immédiatement réagi Eric Ciotti, le député des Alpes Maritimes. « Un nouveau scandale d’état, que la majorité fait tout pour étouffer ! Après l’affaire Benalla et la piscine du fort de Brégançon, maintenant l’achat de cet appareil à raclette, non, vraiment, les Français n’en peuvent plus ! Nous demandons la création d’une commission d’enquête pour faire toute la lumière sur cette affaire » poursuit-il. Un propos repris en grande partie par Eric Coquerel, le député de la France Insoumise, qui, s’il soutient cette demande, rappelle également que « la raclette c’est bon ».

Du côté de la majorité, on fait tout pour minimiser l’incident, même si Richard Ferrand reconnaît à demi-mot « un écart de conduite », car en cette période estivale, un barbecue aurait mieux convenu.

Interrogé à la sortie de la salle de sport de l’Assemblée Nationale, après une séance de vélo elliptique, le principal intéressé n’a pas souhaité répondre à nos sollicitations, se contentant de confirmer qu’il était bien à l’origine de cet investissement et qu’il s’expliquerait à ce sujet devant la commission d’enquête, en temps voulu.  
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Les commentaires des Slipeurs

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Excel
le 22/08/2018
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cet article est un fake ! la machine à raclette a été achetée en hiver !

Racletteman
le 22/08/2018
Répondre
le plus grand scandale de tous les temps

Non C'est Moi Racletteman
le 22/08/2018
Répondre
mais c'est vrai que c'est bon la raclette







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Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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