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Article publié le 11/08/2018

La NASA repousse le lancement de la sonde Parker après une panne de signalisation en gare de Juvisy

Le trafic spatial devrait rester perturbé encore pendant plusieurs jours. La SNCF et RTE se rejettent la responsabilité de l’incident.

Les problèmes techniques de réseau se succèdent pour la SNCF. L’agence spatiale américaine a été contrainte de reporter à une date ultérieure le lancement de la sonde Parker, destinée à explorer les contours du soleil, après une panne de signalisation en gare de Juvisy. L’incident aurait été provoqué par un dysfonctionnement électrique sur un transformateur RTE. Face au mécontentement affiché des chefs de projets à la NASA, Guillaume Pépy, le Président de la SNCF, n’a pas caché son exaspération à l’égard de la filiale d’EDF. « C’est même pas de notre faute, c’est leur faute à eux ! » a-t-il ainsi dénoncé.
« Même pas vrai !» a immédiatement réagi François Brottes, le Président de RTE.
Si les équipes des deux sociétés travaillent jour et nuit pour réparer cette panne, ce nouvel incident n’a pas manqué de provoquer la colère du gouvernement. Elisabeth Borne, la ministre des commissions d’enquête a demandé l’ouverture d’une commission d’enquête destinée à faire toute la lumière sur les raisons de cet incident, mais également pour que soit identifiées « les solutions à mettre en œuvre à l’avenir pour éviter que ce type de situation ne puisse se reproduire ». La solution extrême, qui consisterait à moderniser le réseau, semble pour l’heure totalement écartée.
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Les commentaires des Slipeurs

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Itou
le 23/08/2018
Répondre
ma fusée avait du retard aujourd'hui :))))

Superslip
le 22/08/2018
Répondre
c'est toujours la ligne c qui merde







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Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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