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Article publié le 30/08/2018

La SPA s’alarme du sort des canards de bain abandonnés

Abandonnés au bord des routes, laissés en appartement sans eau ni nourriture… Chaque année, se sont ainsi des milliers de canards de bain qui sont voués à ce triste sort. Cette année encore, les refuges sont saturés et la SPA pousse un cri d’alarme.

L’été 2018 devrait marquer un nouveau record d’abandons sur les routes de France. Cette année encore, les refuges ont fait le plein, et, vacances obligent, les bénévoles peinent à gérer la situation. « Les gens ne se rendent pas compte de ce que cela implique. Ils le voient en vitrine, le trouvent beau, l’achètent pour les enfants, s’amusent avec, et puis un jour ils en ont marre et l’abandonnent. Mais avoir un canard de bain c’est un véritable engagement, il faut bien réfléchir avant ! » se désole Mathias Poulailler, responsable du refuge de Boullay-les-Troux dans l’Essonne. Nous avons pu recueillir le témoignage de Sylvain Parisot qui a été contraint à l’abandon cet été. « J’ai acheté un canard de bain il y a deux ans environ. Je l’ai trouvé par hasard dans une boutique de cadeaux, et j’ai complètement craqué ! J’adorais jouer avec dans le bain, ça me détendait grave, surtout après les grosses journées de boulot. Et puis un jour, ma copine l’a remarqué et elle m’a dit qu’elle trouvait que ça faisait gay. Pas question que je passe pour un pédé ! Alors j’ai préféré l’abandonner. Mais j’ai été sympa, je l’ai balancé dans la Seine » nous a-t-il confié.   

Brigitte Bardot en appelle au gouvernement

En froid avec l'exécutif depuis la polémique sur les quotas de chasse, l’actrice espère que le remplaçant de Nicolas Hulot au ministère de l'environnement aura à coeur d'agir rapidement pour trouver des solutions à cette problématique récurrente des abandons. Certains témoins rapportent par ailleurs, qu’une partie des canards abandonnés seraient enrôlés de force dans des filières d’esclavage sexuel, notamment pour servir de sex-toys. Une histoire qui n’est pas sans rappeler celle des petits cochons en bois, dits « cochons masseurs », très en vogue à une époque dans les salons de massage clandestins.
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Itou
le 31/08/2018
Répondre
Pauv bêtes







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Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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