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Article publié le 27/10/2019

Donald Trump confirme que les Etats-Unis ont échoué à interpeller Xavier Dupont de Ligonnès

Le locataire de la Maison Blanche a fait cette annonce en début d'après-midi, heure française. En dépit de la qualité des informations fournies par la police écossaise, l'opération mise en place par les forces spéciales américaines n'a pas permis d'appréhender l'homme le plus recherché de France. Ce dernier aurait été localisé au Courtepaille de Mâcon, avant de disparaître. Décryptage avec notre expert des relations internationales, Sylvain Pipot. 

C'est un Donald Trump au ton grave qui s'est exprimé cet après-midi en direct de la Maison Blanche, avec un petit quart-d'heure de retard sur l'horaire annoncé. Le Président américain a confirmé les rumeurs qui couraient depuis plusieurs heures en indiquant que l'opération menée par les Navy Seals sur le territoire français n'avait pas permis d'appréhender Xavier Dupont de Ligonnès. 

Pourtant, dès hier soir, d'importants moyens avaient été rapidement déployés, après que la police écossaise fût en mesure de confirmer que Xavier Dupont de Ligonnès avait été repéré au Courtepaille de Mâcon. "L'homme a pris une formule entrée, plat, dessert à 15,90 euros, avec une assiette du grillardin" indiquait encore hier soir le correspondant local. Sur cette interprétation, les avis divergent. "L'assiette du grillardin ne fait pas partie de la formule à 15,90 euros" remarque notre expert à l'international, Sylvain Pipot. "Il s'agirait plutôt de la pièce de boeuf marinée de 140 grammes" poursuit-il.

Une information mise à mal un peu plus tard dans la soirée lorsque la police écossaise fait son méa culpa en confirmant qu'il s'agissait en réalité d'un menu Shériff pris au Buffalo Grill voisin. "Oui, tout ceci a bien plus de sens" appuie Sylvain Pipot. "Moi aussi je préfère aller au Buffalo, parce que dans le menu Shériff il n'y a pas de dessert, c'est bien parce que souvent ça fait trop. Mais par contre la boisson est comprise !". 
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Actarus
le 27/10/2019
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Il s'est encore fait la malle







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Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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