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Article publié le 13/06/2018

Emmanuel Macron, jaloux de ne plus être le meilleur ami de Donald Trump

Le sommet du 12 juin dernier, la rencontre entre Kim Jung un et Donald Trump à Singapour, s’est clôturé sur une poignée de mains historique entre les deux dirigeants. Il y a quelques mois à peine, ils se promettaient pourtant la guerre nucléaire. Aujourd’hui, ils semblent être devenus les meilleurs amis du monde. En France, Emmanuel Macron s’est montré très affecté de ce rapprochement. 

La scène se déroule au palais de l’Elysée. Elle nous est rapportée par un proche du président, qui souhaite rester anonyme, par peur des représailles : « Si on savait que je vous parle, je pourrais être privé de dessert » nous assure-t-il. Le président est en cellule de crise, entouré de ses principaux conseillers et de membres du gouvernement, et assiste en direct à la rencontre entre son ami Donald Trump et Kim Jung Un. Alors que les deux dirigeants enchaînent les accolades et les démonstrations d’amour, le président français ne peut cacher son émotion. A l’issue du sommet, il s’écroule sur son bureau et se met à pleurer à chaudes larmes. « Mais, je comprends pas… je croyais que c’était moi son meilleur ami… mais qu’est-ce que j’ai fait ?... Quoi ? … C’est parce que j’étais pas très content à cause des taxes sur l’aluminium ? … Mais c’est mon meilleur ami ! … On ne se fâche pas pour si peu ! … Non, je comprends pas, encore la semaine dernière au G7 au Canada, on était inséparables ! … On s’est tellement marré en entendant Justin Trudeau faire son discours avec son accent débile… on s’est tellement foutu de la gueule de Merkel, elle a l’air d’un tracteur, en plus avec sa coupe de playmobil… et là, sans un mot, il invite Kim à venir chez lui ? … Mais qu’est-ce qu’il a de plus que moi le gros Coréen ? » bafouille-t-il, les yeux rougis et le regard perdu.

Alors tout le monde y va de son petit mot de réconfort à l’attention du Président. Le premier à briser le silence est Gérard Collomb, le ministre de l’intérieur, et son ami de toujours. Il lui pose une main sur l’épaule : « Ecoute Emmanuel, si tu veux, je peux expulser vingt mille migrants de plus ». Une proposition qui ne semble pas obtenir l’effet escompté, alors le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian lui murmure à l’oreille : « On va finalement peut-être réussir à vendre des Rafales à la Belgique ». Les sanglots du président deviennent vite embarrassants. C’est Bruno Lemaire, le ministre de l’économie qui reprend la parole : « J’ai refait mes calculs, et pour le budget 2019, si tu veux, on peut supprimer l’impôt sur la fortune immobilière, ça c’est quelque chose qui ferait vraiment plaisir à tous nos amis », immédiatement suivi de Gérald Darmanin, son homologue du budget : « Et moi je peux supprimer cent mille postes de fonctionnaires ! ». Mais le Président secoue la tête nerveusement : « Vous ne comprenez rien, vous me parler de chiffres, moi je vous parle d’amitié ! De toute façon, si c’est comme ça, moi j’lui parle plus, et j’l’inviterai plus pour le défilé ! ».
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JeffersonAirplane
le 22/08/2018
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Ok mais on n'augmente pas le prix du pastis

Superslip
le 22/08/2018
Répondre
Benalla est pas là pour le reconforter ? :)))

Catcha
le 22/08/2018
Répondre
et nous on peut payer plus d'impôts si tu veux Manu







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Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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