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Article publié le 05/11/2018

Paris : la manifestation d'ultra centre dégénère dans le calme

La Préfecture de Police de Paris avait déployé ce week-end des moyens exceptionnels pour encadrer la manifestation des militants d'extrême centre. Une débauche de moyens policiers qui n'a pas empêché le rassemblement de dégénérer dans le calme, provoquant d'importants dégâts aux abords de la place de la Bastille, notamment une poubelle renversée. 

Soucieux de ne pas être confrontés aux mêmes types d'évènements qui avaient conduit à la mort tragique du jeune Clément Méric, les services de la Préfecture de police de Paris avaient déployé d'importants moyens pour prévenir tous débordements en marge de la manifestation. Pierre-Yves Gros, du syndicat Alliance, assurait la coordination des différents services. "On est face à des groupuscules d'ultra centre extrêmement dangereux, des gens qui militent pour la paix dans le monde, une Europe sans frontières, la sauvegarde des abeilles, l'interdiction de la chasse et qui défilent avec des fleurs dans les cheveux en écoutant de la musique new age. La moindre étincelle et c'est l'embrasement ! Nous avons pris toutes les précautions nécessaires, mais un dérapage est toujours possible. Nous avons filtré aux alentours de la manifestation et procédé à la saisie de deux combis Volkswagen, qui transportaient d'importantes quantités de cannabis ". 

Partie de la place de la République pour rejoindre Bastille, la manifestation a alors dégénéré dans le calme lorsqu'une poubelle est renversée en tête de cortège. Rapidement interpellé par les forces de l'ordre, le manifestant fautif s'est largement excusé avant d'être placé en garde à vue. " J'ai voulu jeter mon trognon de pomme et quand j'ai soulevé le couvercle, j'ai constaté qu'il y avait à l'intérieur un carton de Pastabox, qui est recyclable ! Ca m'a tellement énervé que j'ai renversé la poubelle. Aujourd'hui, je regrette profondément mon geste ". Un acte qui pourrait toutefois lui valoir une lourde peine, le gouvernement ayant récemment décidé de renforcer son arsenal judiciaire contre les casseurs et les fauteurs de troubles. 
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Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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