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Article publié le 17/12/2018

Vaucluse : la naissance du premier bébé gilet jaune crée l'émotion

Une manifestante gilet jaune a accouché ce dimanche sur un barrage en bordure d'Avignon. Une immense vague d'émotion s'est alors emparée de la communauté gilets jaunes du département. L'évènement, abondamment relayé sur les réseaux sociaux, a été qualifié par certains de début d'une nouvelle ère. Le nouveau-né aurait immédiatement fait part de ses premières revendications.

Du deuil à la naissance. De la tristesse à la joie. Fortement marquée depuis plusieurs jours par la disparition tragique d'un jeune homme de 23 ans percuté par un camion à un rond-point, la communauté des gilets jaunes du Vaucluse a laissé éclater sa joie ce dimanche, dès l'annonce de l'heureux évènement. 

Pour Ingrid et Eric Mortier, les parents du premier bébé gilet jaune, cette naissance constitue indéniablement le début d'une nouvelle ère. " Nous l'avons baptisé Sylvain, en hommage au héros du quotidien régulièrement décrit dans Le Journal Du Slip, notre journal préféré. Sylvain est courageux, il ne baisse jamais les bras, il ne lâche rien, il continue le combat, en dépit de tout ce que la vie lui inflige. Nous admirons chez lui cette incroyable résilience ".

L'équipe médicale qui a procédé à l'accouchement porte un regard attendri sur ce moment. " C'était vraiment un très bel accouchement. Le bébé est sorti sans incident majeur avec les forces de l'ordre. Son premier cri a été pour le Président : Macron démission ! Macron démission ! Il portait contre lui une pancarte Macron, t'es foutu, le Peuple est dans la rue ! C'était tellement beau, tout le monde pleurait à cause des lacrymogènes. Avant de le transférer à la maternité, on lui a remis son masque à gaz, ses lunettes de piscine et son sweat noir à capuche. Il était tellement mignon ! ". 

Le nouveau-né, qui fait la fierté de ses parents, affiche déjà un caractère bien trempé. Dès sa naissance, il aurait fait part de ses premières revendications. Interrogé par nos confrères de BFM TV depuis sa couveuse, outre la démission d'Emmanuel Macron, il aurait exigé la revalorisation immédiate des petits biberons, l'annulation des taxes sur les couches et le lait infantile, la mise à disposition d'une couverture plus chaude ainsi que d'un diffuseur d'huiles essentielles de lacrymogène. Des revendications jugées "légitimes" par l'exécutif, mais qui pour l'heure, n'ont fait l'objet d'aucune réponse concrète.   


 
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Itou
le 17/12/2018
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C'est tellement émouvant







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Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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