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Article publié le 22/01/2019

Un entrepreneur lance Partenaire Particulier, un site de rencontres pour fans des années 80

A l’origine du projet, Sylvain Chirond, un serial-entrepreneur que nous avions rencontré il y a quelques jours lors du CES de Las Vegas, alors qu’il était venu nous présenter sa start-up Doguber. Aujourd’hui, il revient pour nous parler de Partenaire Particulier, un site de rencontres pour fans des années 80.
 
Les sites de rencontres généralistes, qui ont connu leur heure de gloire il y a une petite dizaine d’années, ont fait long feu. C’est le constat que fait Sylvain Chirond, en introduction de la présentation qu’il nous fait de son nouveau projet. « Meetic a eu du succès, mais c’est un concept vieillissant et à bout de souffle. Adopteunmec a su sentir l’air du temps en redonnant le power aux filles avec un ton décalé, mais là-aussi c’est terminé. Non, ce qui marche maintenant c’est le communautaire nostalgique ».

Surfant sur le revival eighties et pop culture qui déferle sur tous les supports de divertissement depuis quelques mois, l’entrepreneur a eu l’idée de décliner cette soif de nostalgie en créant un site de rencontres baptisé Partenaire particulier. « Les personnes qui ont une petite quarantaine d’année sont, soit divorcés, soit ne vont pas tarder à l’être. Ils vivent une crise existentielle et se raccrochent aux souvenirs d’un temps passé, heureux, et pour eux c’étaient dans les années 80. Mais bien souvent, ils n’osent pas avouer leur goût pour ces années-là. Sur Partenaire particulier, ils sont chez eux. Si vous portez une coupe mulet avec un bandeau-éponge autour de la tête comme le chanteur de Dire Straits, et que vous roulez en Renault Fuego en écoutant Indochine, vous risquez fort de passer pour un blaireau. Sur Partenaire particulier, vous êtes un Dieu ».

L’application se distingue en effet très nettement des sites de rencontres traditionnels. Ici, pas de succession de profils, pas d’envois de « charmes », l’avatar que vous avez choisi lors de votre inscription évolue dans une ville typique des années 80 et peut engager la conversation avec tous les autres utilisateurs qu’il croise, au Mcdonald’s, au zénith pour un concert de Simple minds, à l’atelier de tuning, …

Lorsque nous interrogeons Sylvain Chirond sur le modèle économique de son site, il se montre franc : « Le site est entièrement gratuit pour les utilisateurs, la seule contrainte, c’est de choisir un avatar parmi les marques proposées, l’Ami Ricoré, Géant vert, Captain igloo, …, mais tout le monde adore. Par exemple si vous êtes un fan de James Bond, vous pouvez choisir Père Dodu 007, ou alors si vous aimez la musculation et que vous habitez dans l’Essonne, vous pouvez prendre Malabar 91. Après, le site est financé par de la publicité et du placement produits. Les grandes multinationales de l’agroalimentaire sont parfaitement conscientes du capital sympathie de leurs marques et de leur potentiel commercial. D’ailleurs, en ce moment, nous avons un partenariat avec la marque Galak, qui ressort son chocolat blanc 100 % sucre et gélatine de porc. Toutes les quinze minutes, le site diffuse un spot de publicité sur les nouvelles aventures de Oum le Dauphin ».

Si l’approche peut paraître un peu déroutante au premier abord, ce nouveau concept semble toutefois trouver son public. Nous avons demandé à un utilisateur du site, Olivier Batiston, de nous donner son sentiment. Si celui-ci pointe quelques faiblesses, il se dit toutefois pleinement satisfait de son expérience : « Alors oui, j’ai choisi Croustibat comme avatar, et c’est vrai que se balader sur le site en poisson pané c’est pas top, mais au-delà de ça, j’ai pu faire la connaissance de MamieNova94200, on va même aller voir Ready player one, en vrai, au cinéma ! ».
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Itou
le 22/01/2019
Répondre
Trop fort cette appli de rencontres, encore mieux que Doguber !







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Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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