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Article publié le 29/01/2019

Benoît Magimel et Benoît Poelvoorde intègrent la brigade cynophile des douanes d'Orly

Les deux acteurs intègrent la brigade cynophile des douanes de l’aéroport d’Orly en préparation de Blanche-Neige, le prochain long-métrage d’Anne Fontaine. Une aide inespérée pour les douaniers qui luttent sans relâche dans l’aéroport parisien devenu une véritable plaque tournante du trafic de stupéfiants.

Quelques mois après avoir présenté La douleur, et soucieux de redonner une image positive de lui, l’acteur Benoît Magimel a intégré cette semaine la brigade cynophile des douanes d’Orly. Il y sera prochainement rejoint par Benoît Poelvoorde. Une participation pas tout à fait désintéressée puisque les deux acteurs sont actuellement en phase de préparation pour le tournage de Blanche-Neige, le prochain long-métrage d’Anne Fontaine. Un film qui pourrait être rebaptisé Blanc comme neige lors de sa sortie prévue l’année prochaine. Un rôle de composition pour les deux comédiens, prêts à relever tous les défis pour incarner au mieux leurs personnages. « Tout ça c’est très nouveau pour nous, on souhaite vraiment donner le meilleur de nous-même, et pour être crédibles, il faut aller au plus près, sur le terrain » expliquent-ils.

Un véritable atout pour la brigade cynophile

Du côté des douaniers, on se félicite de cette arrivée et de cet apport inestimable de compétences. Mis en lumière depuis le reportage édifiant diffusé dans l’émission Enquêtes exclusives sur M6, l’aéroport d’Orly est devenu une véritable plaque tournante du trafic de stupéfiants. Mais depuis l’arrivée de Benoît Magimel, tout semble avoir changé. « C’est incroyable, ça fait même pas une semaine qu’il est là, et déjà on a saisi plus que l’année dernière ! Nos chiens sont complètement dépassés, il a un flair incroyable ! Il arrive même à détecter les colis suspects dans les avions qui ne se sont pas encore posés ! On a eu des informations de nos indics en Colombie et aux Antilles, comme quoi les cartels détourneraient leurs envois vers Amsterdam ou Madrid, par peur de perdre leurs marchandises ! ». Une action au service de l’intérêt général qui pourrait faire des émules, puisqu’on murmure que Karl Lagerfeld, bientôt en retraite de chez Chanel, pourrait bientôt intégrer l’équipe des douanes chargée de la lutte contre les contrefaçons.
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Itou
le 29/01/2019
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Assurément des rôles de composition







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Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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