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Article publié le 31/10/2018

Meurtres d'Olizy-sur-Chiers : le tueur était un mec hyper sympa

La stupeur et l'incompréhension régnaient encore ce matin dans ce petit village de la Meuse, après l'interpellation par la gendarmerie de Serge Baudrémont, soupçonné d'avoir commis de multiples meutres dans la région. Un homme pourtant particulièrement apprécié de la communauté et régulièrement décrit comme "hyper sympa". 

La perquisition menée au domicile de Serge Baudrémont a permis à la gendarmerie de Bar-le-Duc de mettre la main sur une multitude d'armes blanches et de découvrir dans la cabane à outils les cadavres de plus d'une centaine de personnes récemment disparues dans la région. Pour les voisins, c'est la stupéfaction. "Notre nouveau voisin, un meutrier ? Non, c'est pas possible ! Il était tellement gentil ! Et toujours très serviable avec ça ! Mon mari a eu une dispute avec un inspecteur des impôts qui habite un peu au-dessus, il lui en a parlé un jour comme ça, et depuis plus aucune nouvelle ! Jamais on aurait pu se douter qu'il tuait des gens ! C'est vrai que souvent il y avait des cris chez lui le soir, mais ça s'arrêtait très vite, et puis ici, vous savez, c'est très courant. Le matin il était toujours souriant et de bonne humeur, alors on n'allait pas lui demander, pensez-vous bien ! " témoigne aujourd'hui Gisèle Verbaudet au micro de nos confrères du journal Meuse et misère. 

Au café du village, toutes les discussions ne tournent plus qu'autour de cette affaire. Gilbert Michard, un habitué des lieux ne cache pas son incompréhension. " Ah franchement, j'y crois pas ! Le type était hyper sympa, on n'arrêtait pas de boire des coups ensemble ! ". Une impression unanimement partagée par tous les habitants du village, également très habitués des lieux. " C'est vraiment dommage qu'on l'ait arrêté, on avait prévu d'aller à la chasse ensemble. Enfin bon, s'il tuait des gens, c'est peut-être mieux après tout. On s'refait une tournée ? ".
 
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Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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