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Article publié le 18/01/2019

Prison Break : l'escape game grandeur nature au coeur de la prison de Réau

Avec l’accord du Ministère de la Justice, la direction de l’administration pénitentiaire organise à partir de ce week-end, un immense Escape Game au sein du centre pénitentiaire sud-francilien de Réau. Baptisé Prison Break, il a vocation à améliorer l’attractivité du centre, dont l’image a été ternie ces derniers mois.

La prison de Réau accueillera pour la première fois un concept inédit jamais proposé au public : Prison Break, un jeu grandeur nature entre escape game et parcours immersif sur les traces de la légende Rédoine Faïd. Une expérience unique pour tous les publics : passionnés de grand banditisme, trafiquants en tous genres, amateurs de nouvelles expériences, tous les visiteurs deviennent acteurs d’un jeu immersif au sein de cet établissement hors du commun.

Le but du jeu ? Tenter d’atteindre la cour d’honneur du centre pénitentiaire pour accéder à l’hélicoptère en déchiffrant une série d’énigmes ou par tout autre moyen, avec la participation des prisonniers évoluant en situation réelle et des surveillants qui animent le jeu. Prison Break permet de jouer seul ou en équipe, à tout âge, en famille ou entre amis. Les participants devront accomplir leur mission en évoluant à leur guise dans les espaces emblématiques de l’établissement : cellules, corridors, cantine, douches, salle de sport, parloirs… Ils auront à leur disposition, armes blanches, armes de poing et munitions, explosifs, moyens de communication, ainsi qu’une tenue complète d’intervention. Les gagnants se verront proposer une agréable balade en hélicoptère à travers la Seine-et-Marne.

La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, s’est montrée particulièrement intéressée par le concept et s’est engagée à compter parmi les premiers participants au jeu. Si l’opération est un succès, l’administration pénitentiaire projetterait déjà de poursuivre le concept d’aventures immersives sous la forme d’une cavale à travers l’Essonne et la Seine-et-Marne.
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Zora La Rousse
le 19/01/2019
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j'aurais préféré partir sur les traces de Michael Scofield :)

Antunes
le 18/01/2019
Répondre
Sympa







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Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
Répondre
La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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