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Article publié le 19/10/2018

Grâce à la méditation de pleine conscience, il découvre la nullité de sa vie

Très en vogue dans les milieux de la santé et du bien-être, la pratique de la méditation de pleine conscience tend maintenant à se développer, tant dans le cadre professionnel, que dans celui de la vie quotidienne. Elle s'apparente bien souvent à une renaissance pour tous ceux qui la découvrent. Sylvain Girafe, un jeune trentenaire parisien a accepté de nous faire part de sa propre expérience.

Nous retrouvons Sylvain Girafe au Café d'Albert, un bar branché du 18ème arrondissement de Paris. Dès notre arrivée, il nous interpelle en nous taquinant gentiment. " Vous avez vu ? Non ? Il se passe toujours quelque chose... Mais ça, c'est mon expérience de la pleine conscience, vous pouvez pas comprendre ". Nous cherchons alors à en savoir plus sur sa découverte de cette pratique qui fait un tabac chez les jeunes urbains stressés. "En fait, c'est mon pote Jérôme qui n'arrêtait pas de me parler de ça, mais bon, comme il est roux, je n'y croyais pas trop. Je me suis dit, encore un truc de gonzesse, déjà que je suis devenu végétarien pour faire comme tout le monde, à bouffer des graines toute la journée... Et puis un jour, je l'ai suivi à une de ses séances avec Fabio, son coach brésilien. Ma vie a littéralement changé ce jour là ! On s'est allongé sur des peaux de moutons, et il nous a mis une musique avec de la flûte chinoise et des bruits de rivière en nous demandant de nous concentrer sur nos sensations corporelles. Moi, ça m'a surtout vachement donné envie de pisser, et puis finalement je me suis endormi. Quand je me suis réveillé, j'avais une de ces patates ! On a terminé avec ce qu'il a appelé un scan corporel, une succession de massages à l'aloe vera, il fallait qu'on soit à poil, ça par contre, j'ai pas trop compris. En sortant de la séance, tout avait changé ! J'avais une perception totalement différente des choses, comme si elles glissaient sur moi, surement un effet de l'aloe vera ! ".

Nous l'interrogeons alors sur les bienfaits qu'il en retire au quotidien. "J'ai totalement pris conscience de la nullité de ma vie ! Toujours la tête dans le guidon, mais jamais là, à l'instant présent ! Vous par exemple, vous êtes présent ? Mais en fait, vous ne l'êtes pas. Moi non plus je ne l'étais pas, mais maintenant je le suis ! Tout a changé dans ma vie, je suis beaucoup plus détaché. Au boulot par exemple, je ne réponds plus aux clients qui m'emmerdent. Je prends une heure de pause le matin pour laisser pénétrer l'odeur du café dans mes narines et sentir la chaleur du gobelet se diffuser dans mes mains. Par contre je le bois hyper vite, parce qu'il est toujours aussi dégueulasse ! Ca fait tellement du bien de faire les choses plus lentement, de ne plus être dans l'urgence. Tout le monde s'en est aperçu à la boîte, même mon patron, il dit qu'il n'a jamais vu un branleur pareil. Je pense que je vais lui demander un congé conscience à durée indéterminée pour me retirer et profiter de chaque instant passé avec moi-même. Je pense que ça pourrait être un axe de communication fort en interne pour la boîte, voire pour initier une nouvelle méthode de management. Ca ouvre tellement de portes la pleine conscience ...".  
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Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

Lolman
le 20/08/2018
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La grande concertation, un « Grenelle de la grenade », réunissant professionnels de la profession, acteurs locaux, pouvoirs publics et associations. « C’est une bonne chose cette concertation, ça va nous permettre de dire aux pêcheurs que la pêche c’est pas bien » s’enthousiasme Sylvain Gingembre, responsable du plaidoyer au sein de l’association Le sushi libéré. Interrogé à ce sujet en marge de son déplacement au forum de Davos, le président français Emmanuel Macron s’est dit favorable à un moratoire, tout en précisant qu’il n’en n’avait « strictement rien à foutre ».

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