Article publié le 08/03/2019
Santé : tout savoir sur les perturbateurs endoctrinés
@ Pixabay
Récemment mis en lumière pour leur rôle néfaste sur la santé, les perturbateurs endoctrinés viennent de faire l’objet d’une nouvelle étude d’impact par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). L’occasion de revenir sur ces résultats inquiétants avec le professeur Virgile Charnier, endocrinologue au CHU de Toulouse.
Qu’est-ce qu’un perturbateur endoctriné ?
Il s’agit d’une entité, encore mal définie, interférant avec le cerveau humain et provoquant des perturbations dans l’activité hormonale.
Où trouve-t-on les perturbateurs endoctrinés ?
C’est bien là le problème, on les trouve à peu près partout. Mais principalement à la télévision, dans les journaux et dans les grandes manifestations.
Quels sont les effets des perturbateurs endoctrinés sur la santé ?
L’étude publiée par l’ANSES fait état d’impacts significatifs sur le corps humain. Leurs effets sont cependant très largement dépendants de la dose et de la durée d’exposition. Un fort effet de contagion peut être détecté dans certains cas spécifiques, notamment en période de gilets jaunes. L’effet le plus communément diagnostiqué est une baisse sensible de la natalité. En l’espèce, l’étude pointe le fait qu’une part importante de patients exposés à du JLM2017 avouait « ne plus du tout avoir envie de baiser ». Ce symptôme a également pu être observé sur des patients exposés au MLP2017, une mutation du JMLP2002.
Comment se protéger des perturbateurs endoctrinés ?
En dépit de leur danger avéré sur la santé, le gouvernement ne les a pas encore fait interdire, leur action conjuguée étant jugée utile au bon fonctionnement démocratique. L’étude rappelle qu’il s’agit d’abord de savoir prendre du recul et de faire preuve de bon sens. Une personne contaminée pourra être mise à l’écart le temps de faire disparaître les symptômes, toutefois il est indiqué que les personnes ayant été le plus fortement exposées pourront à l’avenir faire l’objet de crises périodiques. L’étude pointe en effet une très forte corrélation entre les phases les plus virulentes des symptômes et les périodes électorales.
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